Aujourd’hui, il faudrait crier, nous, les profdocs mais aussi nos collègues, les parents, les élèves, parce que l’exception française que constitue notre métier devrait être considérée comme précieuse, parce que les profdocs ont un rôle essentiel et peuvent beaucoup quand on ne leur met pas systématiquement des bâtons dans les roues, et parce qu’il faudrait se défendre et se faire entendre, encore et encore.