Ma belle-mère a embarqué Peanuts pour la journée. Sapin, repas, lectures, jeux, goûter, retour maison. Popcorn resté seul à la maison faisait sa vie de petit bonhomme, réclamant tantôt notre attention, sans allant de là vaquer à ses occupations toute enfantines. On a attendu qu’il s’endorme pour sa sieste pour manger un morceau, ouvrir une bouteille. Puis j’ai lancé une deux fournées de sablés et une de cookies, seule dans ma cuisine, sans consigne à donner, sans personne à surveiller, sans devoir nettoyer plus que le plan de travail ensuite.
Ça m’a rappelé le temps d’avant Popcorn. Et ça ne semble presque pas avoir existé.