Je ne sais pas où je vais.
Car s’il y a un an jour pour jour on m’avait dit que 365 jours plus tard on vivrait bien installé dans un mauvais roman d’anticipation – ou pire, son préquel – je n’y aurais pas cru.
Car ma vie professionnelle m’apporte beaucoup mais me donne la sensation de foncer, à moyen terme, dans un mur.
Car ma vie personnelle est fait de tellement de choses que je ne veux pas entériner.
Alors voilà, derrière mes dehors de stabilité et de constance, en vrai, je ne sais pas où je vais.