La veille du jour d’avant.
Les vacances, c’est demain.
On a prévu, organisé, confié, calendrié.
Et après un confinement, un déconfinement, des journées interminables, des craquages, des larmes, une lassitude à n’en plus finir, je n’arrive pas à me réjouir. Les enfants sont confiés en partie, il est prévu que j’ai du temps seuke, en journée. J’ai passé des mois à en rêver et maintenant qu’on y est presque, ça me laisse froide.
Une part de moi n’y croit pas.
L’autre est tellement épuisée qu’elle n’a envie de penser à rien.
Bref, c’est quasi les vacances.