Je ne sais plus comment on fait pour être cette maman si synchronisée avec le grand tout en câlinant dans le creux de son coude le petit. Il y a une force, un élan, quelque chose qui se logeait très profond en moi qui ne répond plus à l’appelle. Comme si la louve était anesthésiée par l’épuisement, le confinement, le déconfinement, les enfants, par cette vie là.