Dans la forêt de Jean Hegland, édité chez Gallimeister en 2018 pour mon édition, copyright de 1996 pour le texte, traduit par Josette Chicheportiche
« Nos mains sont occupées, mais c’est un travail lent. Faire le tour d’un arbre peut prendre des heures d’un labeur minutieux, lequel commence autour du tronc et progresse en spirales jusqu’à la limite de la ramure. on a chaud et on est couvert de poussière, on a mal au dos et aux genoux. Au bout d’un moment, c’est presque une prière. »