Les années bissextiles, le 23 mai est le 144ème jour de l’année. Ce qui signifie que ce post est le 144ème que je prépare en 2020.
Je manque cruellement d’inspiration.
Je sais ce qui me pompe de l’intérieur, qui me laisse là, comme ça, l’air con devant mon curseur sur la fenêtre de mon téléphone. La vie que je mène en ce moment, on celle qui me mène, plutôt, parce que je n’ai pas prise sur grand chose, m’use. Ce confinement et les jours qui le suivent me font vieillir, ça se voit même sur les traits de mon visage.
Puis je me perds un peu parce que je ne sais plus à qui je m’adresse. Anna, je sais que tu es là. D’après les statistiques de WordPress, tu n’es pas seule. Il y a au moins quelques robots 😏
J’ai un peu perdu du vue le pourquoi de cette objectif de publier chaque jour pendant cette année. Reste l’idée.
144 posts. Restent 222.
Je lis, sans exception, chacun de tes billets aussi … Je ne commente pas parce que wp m’enquiquine fort. C’est un tort …
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C’est bon de savoir que tu es là ! Tu me l’avais dit ailleurs, d’ailleurs. Je n’écris pas cela pour appeler à se forcer à commenter. C’est plutôt pour marquer un point d’étape dans cette année de post qui me turlupine depuis quelques jours.
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Je lis (pire, je lis très souvent depuis l’interface de suivi et non en cliquant sur ton blog, parce que le réseau étant ce qu’il est (pourri), le temps d’affichage d’un site web prend trop de temps ; stats en moins du coup pour toi), je lis mais ne commente pas (parce que ma vie actuelle, parce que tout est trop compliqué).
Des bises Dame
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Des bises à toi, Dame. Je suis heureuse de savoir que tu es là, et peu importe les stats.
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