Une des bonnes nouvelles du confinement, c’est que ce qui me manque, c’est ce que j’ai en temps normal.
Ça me manque de sortir de mes 4 murs, d’aller dans les magasins, de voir des gens, de travailler, de voir mes élèves, mes collègues, de vélotafer, de lire, de dormir, d’avoir un peu de temps sans personne juste autour de moi…
Alors, une partie de tout ça me manquait avant qu’on soit confinés parce que les enfants petits, les horaires contraints, les fucking dents du bébé, ce genre de choses. Mais c’est un problème d’équilibre, de journée qui ne font que 24 heures et que j’ai besoin d’un nombre d’heures de sommeil assez classique pour une humaine.
Fondamentalement, ce confinement ne remet pas totalement en cause nos choix de vie. Et c’est plutôt une bonne chose.
Ah, si, tout de même : le prochain appartement, c’est terrasse ou rez de jardin non négociable !